LAb à Roupies

Lab à roupies 

J'ai de la chance de produire plus d'efforts
Je boirai encore pas mal de bière devant mon écureuil. Après ce match mes amis
me rejoindront en tournant à gauche. Mon flingue dans mon collant stompson sera plus attirant je pense que la plupart des préludes à soupe.
Plus d'efforts concentrés, rehaussés pour me faire du bien, pour penser de moins en moins.
Je cherchais depuis longtemps comment le rictus sentitia, lequel provoque un malaise étrange à gauche de l'abdomen . Un chatouillement de plusieurs ongles, des ongles nets de maniaques.
Je cherchais donc pourquoi le sentiment de ne pas se sentir touché par les gouts de merde ne m'envahissait pas.
Je l'ai trouver de plus en plus en pensant de moins en moins.
Je n'ai qu'une seule idée: Me faire du fric.
Mais je n'y arrive pas tellement. Il faut absolument être avide.
Trop de culture, tellement de moins en moins de tout dans l'abdomen.
Avide de culture? Non: D'efforts 
Pour pouvoir vivre de fêtes et de confort.
Moderne?
J'en ai rien à secouer. Moi tant que je pense de moins en moins.
Je gagne en combattivité, en culture.
En bon sens à vrai dire et je deviens un vrai connard.
Comme ceux que je savourais étant gosse devant des films de merde.
Je marche donc sur la fin du Boulevard Foch et me repose du rouge sur les lèvres.
Une des amies que j'ai invité à boire des bières s'amènent devant moi et ne me reconnait pas.
Je glisse d'un geste sensuel mon flingue sur sa tempe et rentre dans la première boutique à ma portée.
Je laisse mon amie sur la bas coté en otage.
Mon écureuil complètement affamé  se jette sur la vendeuse et lui bouffe l’œil droit.
Je pique tout le fric de la caisse, lui jette mes talons taille 38 dans la gueule et me barre en courant dans la rue toute tremblante.
Le lendemain matin plus une seule goutte au fond de mes sacs de voyages. Je m'ennuyais et buvais après le match. Je jouissais mentalement: tout ceci n'est qu'un bout de ma culture.

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