L'iIllusion de censure

Les poings accrochés par une corde sur une étendue d'écrans, au milieu des scissions constantes d'instabilité, de productivité et d'auto-discipline.
Si je respire il existe.
IL existe deux formes usuelles, dynamiques et déviantes.
Le vert s'épaissit, suivant la dérive des arbres, puis de rails en rails. C'est la fonte des glaces, ce plaisir de diluer sa propre perception.
Si je vois c'est bon.
Le vent est frais. C'est du beauf, une bonne bouffe en traversant quelques gares.
Tiens Beauvais ou Nevers ne m'arrêteront plus. Je ne verrai plus ces villes, ces pièges où le temps a le goût d'une mare de parking de Montreuil.
Il est écrit:
Quel effort pour la campagne?
Depuis sur quelques bureaux, quelques mains posent des tasses de café.
Quel effort ça fait?
De ne rien creuser, de ne plus sentir la main se perd.
Les prolos dépensent beaucoup d'énergie
Oh là! Quelle lourdeur d'être bourré et de parler d'anarchie, de n'avoir plus de réserve.
Aucune pudeur pour préserver l'effort.
D'avancer, rien n'est acquis. Je ne sais rien du monde
Lui me fait devenir

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