Abusé e s

C’était abusé d’avoir la fièvre dans la salle d’attente, à l’aube d’une nuit de fête comme si le désir tombait du ciel , des rires des éclats et du gin naissait la soif Rien d’intriguant d’être abusé dans les ténèbres , dans l’ignorance de la mort identIQUE AU VIDE QUI enivre l’espoir d’être identique, en ayant du noir au fond de la bouche de ne plus tombé sur le mur absent où nos yeux se consument , vidés de l’intérieur la flamme intérieure devient du silence ce silence ou solitude et mémoire s’éloignent des étoiles immenses les yeux à coté des os des cochons brisés à coups de masse La masse du vent abusée s’engouffre dans la vanité infinie , en charpie charpie abusée de tete de coqs amoncellements d’impuissances et de morts des reins abusés et des ventres abusés l’indifférence de la poésie abusée , muraille croulante , pierre morte sur chaux vive coeur de glace abdomen puant , une petite pièce sans valeur que l’écriture donne, elle se sent abusée elle est abusée de trop d'elle dans eux qu'elle ne veut pas elle rejette leur rigidité guerriere, leur raideur militaire Nos visages se séparent Alcool accès dedans dehors quelque chose qui retient la chance du soleil // les levres sur nos squelettes les gens disent des choses et se perdent dans l’étendu du désastre qui pédalent pédalent jusqu’à ce que les choses aillent mieux

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